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 Alyssa Annabelle L. Kelly -Von Klaus-

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Melchom
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Melchom


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MessageSujet: Alyssa Annabelle L. Kelly -Von Klaus-   Alyssa Annabelle L. Kelly     -Von Klaus- Icon_minitimeMar 19 Jan - 0:16

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Nom : Mon nom découle de mes parents. En fait, je découle complètement de mes parents. En fait, chaque enfant découle de leurs parents. Toute la vie des enfants découle des parents, si un enfant n’a plus de parents… Dans ce cas, de quoi découle sa vie? Bon revenons à mon nom, je ferai de la philosophie plus tard. Mon arbre généalogique est certainement plein de noms complexes et étranges, passant des Laframboise aux Fox. Mon père est un Kelly, ma mère une La Rochelle. Mon père n’avait jamais apprécié tout ce qui ne sonnait pas anglais (pas assez prestigieux) et ma mère n’avait jamais vraiment apprécié faire des compromis. À ma naissance, ma mère voulut me nommer à son gré, les cloches de leurs mariages étaient déjà loin et elle souhaitait commencer à rompre les ponts. Ma mère voulait m’appeler comme elle, La Rochelle, car j’étais un véritable bouton de rose au creux de ses bras tendre. Suite à cela, mon père du avoir recours à son dernier argument pour convaincre ma mère : l’église chrétienne. Eh oui… pour avoir son nom à la suite de mon prénom, il décida d’invoquer son droit d’homme d’avoir une famille à son nom. Ma mère se nommait bien madame Kelly depuis leur mariage deux ans plus tôt. Ma mère n’appréciait et n’appréciera surement jamais les compromis, mais étant en famille elle devait savoir que le temps venait souvent au compromis. Elle décida, après maint et maint conflit, d’accorder à mon père le droit au nom de famille si elle avait droit au prénom et d’une lettre. Mon nom devint alors L. Kelly.


Prénom
: Ma mère eut droit à une courte victoire puisque mon père revint à la charge pour le prénom la veille de mon baptême. Mon père désirait le prénom Alyssa. Il disait toujours que ce nom « tenait bien en bouche ». Avez-vous déjà été comparé à des trucs étranges comme du vin, parce que moi oui. Il disait exactement la même chose pour un bon vin « Vous ne trouvez pas qu’il tient bien en bouche? », pour mon père, je crois n’avoir jamais été plus importante qu’un bon vin. Ce jour-là, il n’y avait plus place au compromis, une promesse était une promesse, j’entrevois encore les premières morales que m’a faites ma mère sur les promesses et les paroles à tenir. Je crois qu’elle essayait, dès mon jeune âge, de me transformer en un être comme mon père. Elle n’en démordit pas pour autant, mais dut finalement s’avouer vaincue pour m’appeler Alyssa Annabelle. À la maison, les noms pleuvent, ma mère me nomme simplement Annabelle, mon père me nomme Alyssa et ma sœur m’appelle Arum ou toxicité. Pour moi, les noms et prénoms sont inutiles, ils ne font que nuire à la langue française, j’aurais préféré faire parler de moi à la troisième personne toute ma vie plutôt que de voir mes parents se battre pour un nom bête et ridicule.

Surnom : Les surnoms ne sont pas tous sympathiques. Certains sont faits pour ridiculiser les prénoms des autres, d'autres sont présents pour démontrer un amour insipide et dégradant. Franchement, dites-moi, qui voudrait ressembler à un canard? Un lapin? Un poussin? Dites-moi ce qu’il y a de si merveilleux dans ces animaux petits, fragiles et bêtes. Si vous entendez le mot surnom comme lorsqu’on décompose un prénom je dirais Anna ou Belle ou Bella. Maintenant, soyons honnêtes, si vous parlez d’un petit nom existant pour m’énerver royalement, ce petit nom c’est Arum. Vous vous demandez surement pourquoi. Eh bien! Je vous avouerais ne pas avoir envie de vous le dire, c’est ridicule tout de même. Bon d’accord… Arum, viens d’une plante… l’Arum tacheté, de nom latin Arum maculatum. Bon petit cours de botanique pour vous, L’Arum tacheté est une plante toxique, qui après avoir été ingéré peut conduire à la mort. Je parlerai par expérience, n’essayer pas de rendre un imbécile malade avec de l’Arum tacheté si votre mère n’est pas avocate… Vous ne vous en sortirez peut-être pas aussi bien que moi… étrangement, après cela, ma sœur n’a jamais arrêté de m’appeler Arum, j’étais sa petite toxicité. Ne vous inquiétez pas, même si je continu à jouer avec de l’Arum tacheté je n’ai jamais tué personne… encore.


Âge :
Certaines personnes calculent leurs années de naissance par le nombre de fêtes d’anniversaire qu’ils ont eu. Si c’était mon cas aujourd'hui, je n’aurais que 14 ans, puisque mes parents n’ont oublié mon anniversaire que 9 fois, donc aucune fête d’anniversaire pendant ce temps. J’aurais donc, grâce à mes chers parents, 14 belles années, j’aurais la vie devant moi, je serais toujours sous la charge de mes parents et je serais toujours à l’école… En fait, je préfère être moi-même, une jeune femme libre de ses mouvements, âgée de 23ans et en pleine santé. La vie n’est pas un long fleuve tranquille, tout le monde le sait bien, certains se voilent la face, certes, mais tous le savent tout de même.

Catégorie : Selon toute vraisemblance, tous se divise par catégorie pour mieux sallier à une cause. Sans alliance, vient laliénation et cela, tout le monde le redoute. Si on me catégorise en tant quindividu, je me dirais femme, si on me catégorise selon mon mode de vie, je suis mère et finalement, la seule catégorisation utile dans se monde barbare et sans valeur, je suis une contrôleuse. Cette séparation des gens est pourtant inutile, mais les rassemblements dans la souffrance son surement les plus puissants dentre tous. Lorsque tous et chacun se sentent interpellé par une seule et unique cause, alors là, tout peut se faire. La guerre débute, mais peu aussi sachevé, mais jamais sans perte de vies humaines, mutantes et animales.

Groupe d’appartenance : Je n’ai jamais vraiment eu le temps de m’installer à Québec, n’y au Japon (heureusement), n’y même Chicago, mais je commence à mit faire. Je n’utilise jamais mes pouvoirs en public à cause des interdictions et des nettoyeurs, ils ne sont pas très sympathique ceux-là. J’arrive à maitriser mes pouvoirs de façon correcte et je ne me vante jamais de mes pouvoirs. Je n’ai donc jamais été approché par qui que ce soit, sauf peut-être ma grande tante, mais elle ça ne compte pas, c’est de la famille. Je ne me sens proche d’aucun de ses groupes et je n’ai jamais eu le courage d’aller leur demander asile dans la période la plus difficile de ma vie. Je n’aurais jamais osé penser quitter ma sœur pour quoique se soit de meilleur ou de plus protégé et j’en suis heureuse, car je n’aurais peut-être pas été là pour l’aider dans le contrôle de ses pouvoirs à elle. Je suis neutre et je m’en sors plutôt bien… en fait, je crois. Je doute parfois de ma neutralité maintenant il faut le dire. Je ne crois pas vraiment dans les idéologies de personnes… mais n’est-ce pas ça la neutralité? En plus, je ne suis pas très forte non plus il faut dire, on ne m’arrache pas d’un coté à l’autre. De toute façon, ça ressemble à quoi un mutant maitrisant ses pouvoirs à la perfection? Qui sait, j’ai peut-être atteint les limites de mes pouvoirs…


Pouvoirs :
— Bonjour, je me nomme Alyssa Annabelle L. Kelly. Je suis ce qu’on appelle une mutante comme le restant de l’humanité surement. J’enregistre ici mon journal de bord. Je crois que, pour me comprendre, je dois m’expérimenter. Je me suis posé trois règles. Première règle, ne raconter se qui se passe à personne, je préfère vraiment garder ça pour moi pour moment. Jute au cas où. Mon père est n des derniers humains je crois. Il m’en voudrait surement, alors on se tait. Deuxième règle, ne jamais faire plus d’un test par jour, il faut économiser son énergie et surtout ne pas attirer l’attention. Troisièmement, ne pas devenir cinglé avec ce truc étrange. Fin de transmission.

Pouvoir primaire : Contrôle de la chlorophylle

*Elle approcha un petit magnétophone de sa bouche et soupira*

— Test 23, un lys blanc. Lorsque j’approche ma main, une réaction étrange se produit. La fleur se tourne vers moi, elle suit ma main, lorsque je relâche ma concentration, elle ne bouge plus. Lorsque je recule ma main, avec l’idée de succion en tête, une étrange substance vert foncé sort de la plante. La substance flotte légèrement au-dessus de ma main. Je crois pouvoir la manier comme je le souhaite, mais tout cela demande beaucoup d’énergie. Je réussis à former une sphère potable et… merde! Je l’ai échappé. Comment est-ce que ça marche ce truc?

*Elle releva les yeux tranquillement*

— Fin du test numéro 23, le lys est mort… Je n’arrive pas à contrôler cette substance verte. Lorsque je retire la substance verte, la fleur meurt comme si je lui retirais sa vie. Avant le prochain test, je compte me renseigner sur cette substance verte. Fin de transmission.

--

— Test numéro 27, une rose séchée. J’ai décidé de voir si je contrôle les plantes en général ou simplement la substance verte. Après plusieurs recherches et quelques livres d’écologie, je suis persuadé que la substance verte est de la chlorophylle. J’essaie de faire bouger la plante et… aucune réaction. J’en ai maintenant la preuve, je ne contrôle pas les plantes, dommage je me serais amusé. Fin de transmission.

--

*Elle déposa le magnétophone près d’elle, sur une petite table de chevet. *

— Test numéro 47, après avoir appris à maitriser potentiellement la chlorophylle j’essaie de la former de façon plus concise. Comme dans les dix derniers tests je peux faire des dessins plus où moins compliqué, mais rien d’autre. Lorsque je repousse la chlorophylle dans la plante, la plante grandit. Lorsque je retire la plupart de la substance de la plante, je peux tout de même la faire revivre en dispersant la chlorophylle. Je crois que lorsque je disperse la chlorophylle je peux aussi en augmenter la quantité tant qu’elle reste dans la plante. J’ai essayé de le faire hors de la plante, mais j’en suis incapable. Il est tard, j’ai école dans quatre heures. Fin de transmission.

--

— Test numéro 98, après avoir augmenté la production de chlorophylle j’ai eu l’idée de jouer avec les cellules végétales contenues. J’ai appris en biologie que les changements de phase se font principalement par le mouvement des cellules. Sa texture est faite par son rapprochement ou son relâchement. J’essaie, donc de rapprocher la chlorophylle pour la solidifier. Cette manœuvre me demande vraiment beaucoup d’énergie. Je vais me coucher, je réessayerai demain. Fin de transmission.

--

— Test numéro 103. Aujourd’hui j’ai fait des trous dans mon mur de chambre. Suite à une colère mal gérée, je ne contrôlais plus rien. De petites balles de chlorophylle ont percé ma cloison murale. Bonne nouvelle, j’ai réussi à faire, si on peut dire cela comme ça, durcir ma chlorophylle. La mauvaise nouvelle, une petite colère peut tout faire foirer. Je dois me reprendre si je ne veux pas compromettre mon secret. Fin de transmission.

--

— Test 111, je crois avoir achevé les nouveautés. Je ne trouve plus rien, je préfère tout de même me pratiquer pour ne pas perdre la main. Fin de transmission.

--

— Test 132, suite à un cours de chimie j’ai eu une idée, même si je n’ai rien compris du cours je crois pouvoir dissocier les molécules de la chlorophylle puisque le changement de phase n’est pas si loin. Fin de transmission.

--

— Test 243, de l’eau! J’ai fait de l’eau! J’ai transformé ma chlorophylle en eau, mais je ne la contrôle plus après. Quand je l’ai séparé, j’ai tout échappé. Je ne peux plus la manier. Complètement inutile! Fin de transmission.

Spoiler:


Contrôle secondaire : Énergie solaire

— Test 532, pour comprendre mon don j’ai décidé de devenir une plante. Je me suis couché dans mon jardin et j’ai attendu. Saviez-vous que la vie parait vraiment très longue pour une plante? J’ai pu, tout de même, réfléchir aux possibilités de la chlorophylle. Je crois vraiment avoir fait le tour, mais mes sautes d'humeur brouillent tout. Je contrôle mes peines, mes ennuis, mais toujours pas mes rages et mes colères. C’est la seule émotion qui me fait perdre le contrôle. J’ai aussi pensé à la photosynthèse, puisque la photosynthèse est reliée à la chlorophylle je devais être relié à la chlorophylle. Direction Internet, c’est quoi la photosynthèse précisément? Fin de transmission.

--

— Test 533, bon! La photosynthèse sert à transformer l’énergie solaire en énergie chimique. Bon, je ne crois pas avoir besoin d’énergie chimique. Ça fait dix minutes que j’essaie de concentrer la lumière de la chlorophylle dans ma main et tout ce que je réussis à avoir comme résultat c’est de refléter la lumière. C’est un soleil miniature que je veux, pas un miroir! Je suis épuisé comme dans mes cent premiers tests, on dirait que mon endurance diminue ou que ça m’en demande beaucoup plus. Fin de transmission.

--

— Test 542, j’ai réussi! J’ai fait un rayon de soleil! Enfin…, je crois. Je suis persuadé d’avoir fait de la lumière. Je suis complètement vidé, je vais me coucher. Fin de transmission.

--

— Test 556, j’essaie de reproduire ce que j’ai fait aujourd’hui. J’ai… je ne sais pas comment, j’ai réussi à aveugler un gars de mon école avec mes mains. Comme si j’avais eu un flash d’appareil photo. Je peux faire de la lumière! Je dois vraiment me méfier de ma colère, elle va tout gâcher! Fin de transmission.

--

-Test 563, je suis complètement vidée, je crois que produire cette énergie solaire dans mes mains m’en demande beaucoup trop. Je ne sais pas comment, mais je crois que je fais l’inverse de ce qu’il faut. Si j’ai bien compris la photosynthèse, je dois transformer l’énergie solaire en énergie chimique. Je crois que moi, mon problème, c’est que je transforme mon énergie chimique en énergie solaire. Je risque de me tuer si je continue. Je m’endors sur place. Fin de transmission.

--

— Test 632, je sais que je ne devrais pas, mais je désire m’essayer une dernière fois. Je me suis évanoui les cinquante derniers tests, mais je crois avoir trouvé la solution. Aujourd’hui, j’ai passé ma journée au soleil avec ma chlorophylle. Lorsque je déploie une mince couche de chlorophylle sur mes mains, je n’ai plus de difficulté à irradier, mais je crois être capable de le faire seule.

*long silence, suivi d’une plainte sèche et un son lourd. Quelques minutes de silence, on reprend le microphone*

— dit dans un souffle rauque : test réussi, je peux emmagasiner l’énergie solaire moi-même, mais je crois m’être brûlé les mains. Qu’est-ce que je vais dire à mes parents demain *Petit rire ironique*. Fin de transmission.

--

— Test 1103, cela fait maintenant trois ans que j’évalue s’en cesse l’étendu de mes pouvoirs. Je sens que je n’imagine même pas toutes les facettes de mes pouvoirs. Je gère encore mal mes émotions, mais cette nuit tout a changé. Je n’ai plus droit à l’erreur. Cette nuit tout a basculé. Ma sœur a eu une réaction étrange. Elle entendait trop et je ne comprends pas trop. Il est logique que ma sœur aille des pouvoirs comme moi, mais je n’aurais pas cru aussi tôt. Je dois maintenant prendre soin d’elle. Fin de transmission.

Spoiler:


Compétences : Ce que voit l’œil est infiniment petit lorsqu’on le compare à ce que peut percevoir le cœur. Dans un seul trait, même fusain, feutre, crayon ou encre, la beauté de l‘art réside dans la pureté de l’artiste, de son cœur. Lorsque le meilleur des artistes regarde un enfant détruit par la guerre, il ne voit pas que ça, il perçoit la douleur, la peur et la haine… Il perçoit tant les biens que les maux. Tel cet artiste, un jour je verrai la pureté du monde, mais ce jour peut-être cette pureté aura disparu. Ce jour alors je dessinerai la pureté perdue dans la beauté d’un lys, un simple lys… Je me nomme artiste, car sous mes couleurs et mes crayons je perçois le monde. Malgré les apparences, il ne suffit pas de voir le monde, il faut aussi le comprendre, de père anglais et ma mère française, je ne comprenais qu’une partie du monde. Suite à mes efforts pour apprendre l’espagnol, une langue si douce et gracieuse, j’ai cru pouvoir réussir à posséder le monde, mais une langue m’obsédait. Cette langue venant d’orient tirant autant de la beauté de l’art que de la logique. Cette langue, je le regrette, n’est toujours pas complètement mienne, mais de jour en jour s’annule les coquilles et les bévues du langage que me force à poser mes efforts de comprendre le japonais. Le plus facile dans cette vie, c’est de s’oublier. De se faire avaler par sa vie. Souvent, la vie est la lame la plus tranchante et la plus dévastatrice, mais la langue, elle, gracieuse virtuosité perfide, lorsque bien employé, sert à l’homme pour trancher l’âme. L’âme, curiosité que tous cherchent ou recherchent avidement, sans quoi, peut-être, seules les plantes subsisteraient. Croyez-vous que la nature connaisse même la signification de l’âme? Non… Bien sûr, la nature est bien plus encore. La nature me protège et la langue est mon arme. Une volée de mot au fil du vent tel une volée de flèches percutantes comme une seule toile, un seul mur. C’est ainsi que je vois cette arme qui est la mienne.


Portrait du personnage

Physique :
Dans le fond me mon petit monde, la vie se reflète. Sur un simple mur, une large feuille d’argent et de verre, si froide, renvoie une image du monde si réelle et si fausse. Cette feuille vous révèle peut-être la douceur de mes traits, la force contenue dans mon œil. Cette mince couche de glace révèle le marron de mes yeux, identique à mes cheveux. Elle vous fait découvrir ma silhouette mince et la blancheur de ma peau que dévoile mon manque de pudeur. Sous les couches d’encre qui fleurissent tendrement sur mon corps, se divulgue la vigueur de mes 23 ans. Toujours frais comme une rose et avec toute la force que lui offrent ses épines, mon corps est si fragile et si faux… Jamais cette fragile lamelle d’argent, de fer, d’aluminium ne pourra refléter ce que je suis vraiment. Même le plus grand des artistes ne pourrait pas, dans un seul dessin, contenir une femme entière. Parfois le peintre réussit à posséder un sourire, un regard, un geste… mais jamais il ne possèdera l’être le plus imparfait qui soit. Jamais l’artiste ne possèdera l’Homme, car chaque artiste nait Homme.

Psyché : Lorsque mes yeux se pose sur mon image, mon corps cri a l’injustice, car la simplicité de l’esprit est bien plus belle, bien plus complexe aussi. Cette glace, jamais elle ne révèlera mes joies, mes peines et mes peurs. Jamais cette glace ne me regardera et commencera à dévoiler mon caractère changeant, ma fermeté d’opinion. Même avec des mots, jamais elle ne pourrait décrire mes absences quotidiennes, allant rejoindre l’imaginaire lorsque la vie m’empêche de m’exprimer. Ni même ma difficulté à me séparer des seuls êtres au monde qui pour laquelle je sacrifierais ma vie ma sœur et mon fils. Pour la première, malheureusement, elle sacrifierait aussi la sienne pour moi. Jamais cette glace ne me reflètera la morosité et le pessimisme de mes pensées, car ma réalité ne se perçoit pas dans la vôtre. Seule ma conscience me survit, car elle seule peut faire croire qu’elle me comprend.

Journal de vie

L’histoire de sa vie :
L’aurore de ma vie

Dès ma naissance ma mère et mon père ne s’entendaient pas. L’un me voulait, Alyssa l’autre me voyait, Annabelle. L’accord des deux donna le cadre dans laquelle je fus élevé, un éternel compromis. Du haut de mes cinq ans, je vis ma mère mettre au monde une petite chose grouillante et pleurnicharde, je compris tout de suite que cette chose ne survivrait pas à l’univers des compromis qu’on m’imposait, le seul univers que mes parents pouvaient lui offrir. Je décidai donc de la cueillir tel un bouton de rose et de la sauver des griffes de ma famille et tâchais de la rendre heureuse en grandissant. Je la chérissais comme la plus belle merveille du monde, ce qu’elle était. Malgré mes efforts, mes résultats furent pitoyables et je décidai de grandir aussi vite que les haricots de grand-mère. Il m’aurait fallut quoi? Un été au grand soleil pour pouvoir prendre soin de ce que ma mère appelait ma sœur? C’était bien peu! Lorsque j’eus droit à sept bougies sur un petit gâteau offert par ma grand-mère, je compris que grandir ne serait pas aussi simple. Bien sûr, j’étais plus grande que ma petite chose, mais elle avait aussi poussé et de beaucoup plus de petites lignes sur le cadrage de la porte de mémé que moi. Je décidai, donc de protéger mon petit trésor du mieux que je pouvais en ne cessant jamais de me baigner de soleil régulièrement suppliant le ciel de devenir haricot pour faire oublier à ma sœur la disparition de nos parents échangés contre une femme au visage cruel et malfaisant que les apparitions momentanées de maman qui me faisait appeler cette nouvelle femme Nounou McCain. Je me développai normalement. Je poussais bien, mais vers mes douze ans, je découvris des choses étranges. Les plantes se tournaient sur mon passage et parfois même des petites goutes flottaient autour de moi, mais je préférais battre de la main et continuer mon chemin. Peut-être arriverais-je à oublier tout cela.

Le centre d’un simple tout

Sous les regards ombrageux de mes parents, ils m’offrir mes seize ans avec un gâteau et deux cadeaux. L’un d’eux contenait des clés de voiture et l’autre euh… je crois que c’était du linge… à moins que ce pût être une des cartes de crédit de ma mère. Je ne sais plus. Je me souviens très bien de la peinture rouge écarlate de la voiture, du passage délicat sur le cuir tout nouveau de la voiture et son odeur qui sentait le neuf. La marque me demanderez-vous, eh bien, je n’en ai aucune idée. Je me suis toujours fiché des marques, mais disons juste que les hommes se retournaient sur mon passage, mais pas pour moi… j’ai bien compris que c’était surtout pour ma voiture. Ça vous étonne? Pas moi. Disons que, lorsque j’avais seize ans, j’étais transparente pour tous. Je crois même que la voiture était un effort étrange de mon père pour que je me fasse remarquer. Impossible. Je n’ai jamais voulu me faire remarquer et j’ai toujours réussi. J’adorais toujours autant être aux études et mon cinquième secondaire se passa sans vague. Mes fins de semaine chez grand-mère avec Corine étaient ma source de calme et de normalité. Ma grand-mère mourut le 7 décembre 2040, cinq jours après seizième anniversaire. Elle ne put même pas me voir au volant de ma voiture. J’ai voulu aller jardiner avec elle, mais lorsque je mis les pieds chez elle, l’énergie n’était plus pareille. Je ne me souviens plus vraiment des détails. Elle était dans son lit. Endormi. Calme. Je me souviens d’être sorti, d’avoir appelé la police, ma sœur. J’étais dans le jardin, lorsque deux hommes habillés de rouge sortirent ma grand-mère dans une grande enveloppe gris-foncé. Je ne pouvais croire qu’elle entrait complètement dans cette espèce de sac à fermeture éclair. Je ne pus m’occuper du jardin de ma grand-mère comme il le méritait. Ma mère ne voulant plus que je m’approche de cette maison, soi-disant par peur que je déprime. Je me souviens vaguement de l’enterrement. Le soleil était radieux, pas une trace de nuage dans le ciel. Le temps était devenu flou, mes notes n’avaient pas écopées du choc, mais le peu de vie sociale que j’avais, oui. Corine était maintenant ma seule amie, ma seule source de réconfort. À la fin des examens, ma mère voulut m’envoyer je ne sais où, pour essayer de régler ce qu’elle nommait une « dépression ». Je me souviens de mettre emporter, de l’avoir insulter et de mon père qui prenait la défense de ma mère pour une fois. Je me souviens d’avoir vidé mon sac sur leur simili relation de couple et de la main de mon père percutant ma joue dans une poussé d’adrénaline. Une fois de plus ou de moins, ça ne changeait rien, j’étais habituée. Je pris mes jambes à mon cou et j’erré dans la ville de Québec pendant… euh… je n’en sais rien peut-être quelques heures. Qui sait? Je ne pleurais pas, les larmes étaient inutiles depuis très longtemps. Mes pieds s’arrêtèrent par eux même devant un bloc de ciment. Sur ce bloc était gravé « Ici repose Nora La Rochelle, femme et grand-mère extraordinaire, elle nous quitta paisiblement, comme une rose. » Les fleurs plantées sur sa tombe manquaient d’entretien, le cimetière ne devait pas s’en occuper. Les fleurs manquaient d’eau et de soleil. Je me couchai près des fleurs pour mieux me rapprocher de ma grand-mère. Je mis ma main près d’une des fleurs pour mieux la voir, la caresser. Mes larmes se mirent à couler doucement et une douce lueur sortit de ma main. La fleur reprit vie, comme toutes les autres devant moi. Ensuite, je crois mettre endormi, le spectacle sous mes yeux était un des spectacles les plus beaux que je n’ai jamais vus. Un rêve, une simple chimère réconfortante, comme les fleurs je pouvais reprendre vie, simplement. À mon réveil, le rêve paru beaucoup plus réel. Toutes les fleurs étaient bien vivantes, elles rayonnaient de vie. L’arbre qui cachait le soleil aux plantes avait l’air plus grand, plus fort et ses branches étaient plus écartées maintenant, laissant passer la lumière du jour sur la tombe. Lorsque je reculai pour admirer le spectacle, mes yeux se posèrent sur le sol, l’herbe sous mes pieds était verte, l’herbe formait un très grand cercle autour de la pierre tombale pour ensuite laisser place graduellement à de l’herbe jaunie par la chaleur du début de l’été. Je ne pus que tourner le dos à ce spectacle pour retourner chez moi, ma sœur devait s’inquiéter. Je pris conscience de mon potentiel ce jour-là, de tout mon potentiel. Mes nouvelles balades en forêt égayèrent ma vie et m’aidèrent à me comprendre. Vers mes dix-neuf ans, ma sœur eut droit à une crise monumentale. Avec le temps, je pris conscience qu’elle était comme moi, sous plusieurs différences. Elle voyait et entendait plus que tous les autres, moi, je faisais des trucs étranges avec de la chlorophylle. Un duo foudroyant.

La fin d’un cycle, le début d’un autre

-Test 1104, ça fait si longtemps. Ça fait maintenant quatre ans que je n’ai pas continué mon journal de bord. Ma sœur et moi allons très bien. Son don consiste à voir et entendre plus que les autres, elle est sensible aux vibrations et n’est plus affectée par la noirceur. Elle est une véritable lapine. Avec elle, nous sommes loin de la chlorophylle. Je contrôle maintenant très bien mes émotions, sauf la colère, vive émotion qui me donne toujours du fil à retordre. Je ne sais toujours pas les limites de mes pouvoirs et ceux de ma sœur non plus. Il est difficile de savoir lorsqu’on atteint les limites d’une chose. Sauf dans le cas où je traverse les frontières entre deux pays, je ne ressens jamais les limites, dans se cas je crois que les clôtures et la demande de passeport aide dans se sens. Je suis se qu’on appelle une contrôleuse et elle une animaliste ou peut-être une brute, mais franchement je parierais sur l’animaliste. Je déménage à Chicago avec ma sœur dès le début de l’été. Elle va à l’Université et moi j’espère m’ouvrir un salon de tatouage et de perçage. J’engagerai surement ma petite sœur, elle est douée. Elle préfère le perçage que le tatouage, mais elle est douée dans les deux cas. Je mets fin ici mon journal de bord. Source de lumière dans les ténèbres de mes jours gris. Simple rationalité dans une vie brouillée. Mon soupçon de rationalité lorsque j’ai cru devenir folle. Ici Alyssa Annabelle L. Kelly, simple mutante. Fin de transmission. *Petit rire, coupé sec par la fin de l’enregistrement*

La suite des événements

J’ai habité à Chicago quelque temps, j’ai ouvert ma boutique, le burning red. Oui, je sais, c’est bizarre, mais je me suis dit que ça pourrait induire en erreur les gros méchants et ainsi m’amener plus de client. Ça a quand même bien marcher, mais franchement le tatouage des femmes rapportent bien et on fait beaucoup moins peur que les gens dans le domaine. Je suis tombé enceinte dans cette ville aussi. Oui, oui, moi et un homme, ça étonné beaucoup ma sœur, mais se n’est pas si terrible. C’est mon géant à moi, je l’aime bien malgré qu’il n’a pas le style de l’amour facile diront nous. Notre début de couple n’a pas été facile, la naissance de notre petit Alvin non plus, mais aujourd’hui nous vivons ensemble. Ça me fait du bien, la grossesse me faisait peur, mais à deux c’est beaucoup moins pire. Il est adorable mon géant, il a beau jouer les durs… je suis arrivé à lui trouver un peu d’humanité et ça, j’adore. Bon d’accord, il est dans la Chrysalide, ça se n’est pas génial, mais quand même. Je n’ai rien à voir avec cela, donc aucun problème en théorie, non? Il faut faire la différence entre sa vie professionnelle et notre vie de couple. C’était difficile au début, mais plus le temps avance et plus faire omission de tout marche assez bien. Vingt-trois ans et déjà une boutique, un homme dans ma vie et un enfant. Je me suis découverte une tante dans les Rebelles et un amant dans la Chrysalide. Je préfère ne pas m’approcher de l’Agence et des nettoyeurs… ça vous étonnes?


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MessageSujet: Re: Alyssa Annabelle L. Kelly -Von Klaus-   Alyssa Annabelle L. Kelly     -Von Klaus- Icon_minitimeMar 19 Jan - 15:35

(Re)Wilcommen!

(Re)Bienvenue sur The New Beginning,

Ich been Klaus!. Je vais être le modérateur de ta fiche, Prière de ne pas retirer le –von Klaus- du titre de ta fiche et du statut de cette dernière entre crochet [] pour être sur que tu n’es pas trois modérateurs sur ton dos et que ta fiche soit validée un jour, en plus ça nous facilite la vie. Donc, lorsque ta fiche sera terminée, averti moi par MP ou à la suite de ta fiche et je viendrai faire suite. Si tu as l’a moindre question ou hésitation MP moi, je suis là pour ça.

À bientôt!

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Bon juste un tout petit truc de rien, mais tu n'as pas marqué ta catégorie xD Maudit contrôleur hein!

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Nom complet : Alyssa Annabelle L. Kelly
Âge cohérent avec l'avatar: Oui
Catégorie :
Groupe d’appartenance : Neutre
Nom des pouvoirs : Contrôle de la chlorophylle, énergie solaire


Portraits

Physique: Excellent

Psyché: Excellent

Journal

Histoire: Excellente
Nombre de ligne: OK


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Les administrateurs vont bientôt être au courant de venir modérer ta fiche *bien que les points soient distribuer ou presque xD*
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Melchom
Squatteur de chatbox :)
Melchom


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MessageSujet: Re: Alyssa Annabelle L. Kelly -Von Klaus-   Alyssa Annabelle L. Kelly     -Von Klaus- Icon_minitimeMar 19 Jan - 23:40

Corrigé! Aller Rykiki vient me distribuer mes points^^
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Ryker Martinez
Administrateur-Brute
Ryker Martinez


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Age : 34
Emploi : Directeur de l'Agence

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MessageSujet: Re: Alyssa Annabelle L. Kelly -Von Klaus-   Alyssa Annabelle L. Kelly     -Von Klaus- Icon_minitimeMar 19 Jan - 23:53

Je tiens à te dire que tu as 229 points à distribuer avant d'être validé totalement.

Les coûts pour être au niveau 2 est de 25, niveau trois 75, niveau 4 150 et niveau 5 250, mais pour avoir un pouvoir actif il faut au minimum 10 points dans la catégorie 1.

Merci de t'être inscrit et je te souhaite très bon RP.

Ne retire pas le [Placement de point] de ta fiche, c’est l’étape où ta fiche est rendue.

Je te valide donc en tant que
neutre



Tes points ont été distribués tu es donc prêt à jouer. N’oublie pas d’aller répertorier votre célébrité et de faire un petit tour dans la section espace personnage avant de commencer.


Bon jeu parmi nous et merci de vous avoir inscrit sur notre beau forum
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MessageSujet: Re: Alyssa Annabelle L. Kelly -Von Klaus-   Alyssa Annabelle L. Kelly     -Von Klaus- Icon_minitime

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