Leona Morgenstern Animaliste
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| Sujet: Leona fiche [Approuvé] Lun 7 Déc - 16:24 | |
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Nom : Morgenstern Prénom : Eva Wanda Leona Surnom : Leo, La jeune (ça c'est de son papa seulement) Âge : 36 ans, 20 d’apparence Catégorie : Animaliste Groupe d’appartenance : Neutre Signe astrologique: Lion-Vierge (23 août)
Pouvoirs :Pouvoir primaire: Animosité féline Son animosité se reflète sous plusieurs formes qui forment un grand tout. Son animosité influence surtout ses capacités physiques comme ses réflexes, ses sens, sa morphologie et son âge. Elle possède donc plus de réflexe que tout le monde, tous ses sens s’exacerbent, elle possède des griffes rétractables, lorsqu’elle se fâche ses pupilles deviennent rectilignes et elle possède de légères canines qui poussent aussi lorsqu’elle se fâche. Elle a remarqué que son corps vieillissait moins vite que la normale. Entre une année et demi et trois pour un an. - Spoiler:
Niveau 1 : Lorsqu’elle se fâche, ses pouvoirs animalistes prennent le dessus sur tout le reste. Ses griffes, ses pupilles et ses canines poussent et s’effilent. Elle possède les réflexes d’une gymnaste entrainée. Elle possède des sens supérieurs, son odorat et son ouïe son décuplé.
Niveau 2 : Toujours une réaction physique aux très fortes émotions, mais aussi lorsqu’elle le souhaite, c’est un bon compromis. Elle possède les réflexes d’une athlète de haut niveau. Son corps devient étrangement malléable, lui permettant d’en faire plus, sa flexibilité est fortement accrue. Ses deux premiers sens s’améliorent encore, mais à cela se rajoute la vue.
Niveau 3 : Elle contrôle ses pulsions, c’est déjà un bon point. Elle peut maintenant changer sa morphologie à son gré. Ses réflexes surpassent ceux de n’importe quel humain et plusieurs mutants, mais rien de comparable à un félin. Elle remarque qu’elle retombe toujours sur ses pieds. Ses trois sens deviennent surpuissants, lui causant plusieurs problèmes de contrôle. Elle remarque aussi plusieurs points de son corps plus sensible que d’autre, comme les félins. Elle cicatrise aussi deux fois plus vite qu’un humain, mais rien d’exceptionnel. Juste la cicatrisation et la régénération sanguine, comme un chat.
Niveau 4 : Elle remarque que sa transformation devient plus précise, ses griffes, ses crocs et ses yeux deviennent extrêmement ressemblant. Elle se rend compte, à sa grande détresse que ses poils peuvent pousser en grande quantité partout, mais ça ce contrôle, heureusement pour elle. Des moustaches lui poussent aussi. Ses sens donnent l’impression de s’être finalement stabiliser, lui permettant de traquer une proie, autant qu’écouter une conversation à bonne distance. Ses réflexes sont phénoménaux et surtout, semble être tirer des meilleurs félins, lui conférant grâce et discrétion.
Niveau 5 : Ses transformations externes on cesser de changer, mais elle commence à avoir des réactions un peu bizarre, passant du ronronnement aux dos rond. Elle a tendance à se mettre à courir à quatre pattes, mais essai de le cacher. Ses sens se précisent et s’ajuste finalement à son corps. Elle possède des réflexes hors-paire qui ne la trahissent jamais.
Oméga : Choc du siècle, elle peut se transformer en félin de toute sorte, passant de la lionne au chat, fallait s’y attendre… non?
Pouvoir secondaire: Dards rétractables Elle doute si ce pouvoir est tiré d’insectes comme les abeilles et les bourdons ou tout simplement de croc de serpent ou du porc-et-pic. Son pouvoir est un peu flou pour elle, mais elle peut sortir deux énormes dards de ses avant-bras et de tout petit de ses avant-bras, mais aussi sous la langue. Ses dards finissent leur croissance par une substance empoisonner qui les recouvre, elle est immuniser à son propre poison puisque se dernier coule dans ses veines. Elle peut créer du poison sans dard, mais il lui faut de la concentration, se n’est pas automatique. - Spoiler:
Niveau 1 : Deux dards lui sortent des poignets. Couleur d’os, elle ne sait pas trop comment le prendre et quoi faire avec cela, c’est tout simplement inutile. Elle a une drôle de sensation sous la langue, comme si ses amygdales lui brulaient.
Niveau 2 : Elle comprend plus ou moins à quoi ça sert. C’est pointu et sa fait très mal. Comme si elle pensait que se serait fini, lorsqu’elle éternue, de tout petits dards sortent de ses poignets et de sous sa langue. Lorsqu’elles se cognent les dards, elle souffre le martyre (pire que la petite orteil sur le bord d’un meuble xD) , mais étrangement ils ont l’air incassables et elle a raison. Cette solidité se répand tranquillement à tout son corps. (incassable, mais avec exception --‘ *fixe Ryker et cligne des yeux machinalement et avec un peut de frayeur, un tout petit peu xD)
Niveau 3 : La longueur maximum à l’air d’être atteinte, une quarantaine de centimètre tout au plus. Elle remarque pourtant une substance suintante sur ses dards, un poison paralysant les recouvre lorsqu’elle le veut. Elle est heureuse de se savoir immuniser à son propre poison.
Niveau 4 : Le poison sur ses dards devient mortel. Les gens empoisonnés on tendance à attaquer les individus les entourant ou s’attaquer eux-mêmes avant de mourir de quelques convulsion. Elle remarque une sorte de corne sur ses membres les plus éloigné de son tronc, comme un mince bouclier, mais après un choc, ils brisent et prend un certain temps avant de se reformer. Elle peut tout de même ne pas l’avoir.
Niveau 5 : La couche durcit et forme une couche de petit dard. Le bouclier est sécrété par la peau, mais ne la perce pas. Avec les dards, c’est comme un manteau. Elle ne peut les expulser et ne sont pas empoisonner. Ils lui servent seulement de bouclier tout de même faible, mais un peu moins qu’en quatre et trou son linge. Elle peut se recouvrir de cette couche protectrice à peut prêt jusqu’au hanche et au épaule. Oméga : Son corps peut se recouvrir totalement de dard grâce à cette couche protectrice et elle peut les expulser dans une contraction musculaire. Ils sont aussi empoisonnés, mais ne peuvent tuer. Elle peut finalement recouvrir une seule partie de son corps au choix ou complètement assez rapidement.
Compétences : (ses forces, ses préférences – minimum 3 lignes) Grâce à sa silhouette et sa flexibilité, tout se qui est corporelle la réussit très bien. Elle a aussi un talent innée pour marcher avec des talons hauts, mais n’en porte jamais alors on s’en fiche. Elle sait se défendre et ne possède pas de technique apparente, tout ce qu’elle sait, c’est que sa fonctionne très bien. On pourrait dire qu’elle sait se battre à l’arme blanche, mais se sert plutôt de ses dards lorsqu’elle est en position de force. L’expression « avoir le compas dans l’œil » lui va à ravir. Elle peut, par un simple regard si quelque chose est droit ou non. Par se fait même elle est excellente pour atteindre une cible, autant au lancée, qu’au tire. Son arme de prédilection à distance reste tout de même l’arc et l’arbalète puisque le son des autres armes la fait sursauter et elle n’aime pas trop les balles, mais saurait comment s’en servir. Portrait du personnage Physique : (ici se fait la description du corps de votre personnage. Sa physionomie, sa taille, son style vestimentaire et ses caractéristiques qui le rendent unique. — minimum 5 lignes) Leona est une jeune fille qui se dit banal, mais il faut tout de même décrire son physique, même si elle, elle n’y porte pas beaucoup d’importance. À la base, elle à les cheveux bruns foncé, les yeux paires passant de l’ambre au brun teinté de vert. Elle n’est pas très grande, mais n’est pas petite, atteignant sans chaussure les 5 pied 9 pouces. Elle possède une taille fine et sous ses vêtements, elle arbore une musculature tout en finesse, mais tout de même très présente. Elle n’a pas de look spécifique, préférant se brosser les cheveux et enfiler une tenue confortable plutôt que d’agencer et de passer des heures infernales devant la glace. Il faut mentionner que ses canines sont plus pointue que la plupart des humains, ses ongles sont toujours long et ses yeux donnent l’impression d’avoir du crayon noir autour des yeux en constance, mais c’est la teinte de sa peau.Bon, lorsqu’elle laisse aller ses instincts, son physique change de beaucoup. Sa silhouette, déjà fine, se modifie encore, lui donnant une silhouette d’enfer, assez pour rendre jalouse n’importe qu’elle modéliste (surtout qu’elle, elle mange pour deux xD). La noirceur autour de ses yeux s’amplifie, l’ambre de ses yeux deviennent jaunes et sa pupille devient rectiligne, en bref, comme des yeux de chat. Ses oreilles s’affinent et deviennent plus pointu, pas à la manière des night elf, mais quand même pointu. Ses canines s’allongent et s’aiguisent à la manière de tout bon félin. Ses ongles s’allongent à en devenir des griffes solides et tranchantes, même meurtrière. C’est pour cette même raison qu’elle n’a pas souvent de soulier ou qu’elle les enlève avant de se fâcher. Elle avait déjà la mauvaise manie de renifler, mais lorsqu’elle laisse aller ses instincts, c’est pire. Lorsqu’elle le fait, elle retrousse un peu le nez lui donnant un petit air drôle et mignon. Elle a aussi la mauvaise habitude de froncé les sourcils lorsqu’elle ne reconnait pas une odeur, mais aussi lorsque sa sent mauvais.Psyché : (ici ce fait ses qualités, ses défauts, ses valeurs, ses habitudes de vies et ses manies — minimum 5 lignes) Leona ne le sait pas encore, mais elle est la digne fille de son père. À les voir agir et être, même sans avoir connaissance de l’autre les ressemblances sont présentes. Premièrement, elle est paresseuse et n’aime pas gâcher son temps de repos à faire du n’importe quoi. Elle aime son confort et si elle doit entreprendre une action, sa sera le plus rapidement, le plus directement et avec le moins d’effort possible. En contre partie, lorsqu’elle s’amuse, elle ne remarque pas trop la dépense d’énergie, allant de grimper dans les arbres, à chasser ou à danser.Dans la même ligne d’idée, Leona est une pure Morgenstern et elle porte très bien son nom de famille puisqu’elle n’est nullement intéresser par le sexe opposé et n’y ceux du même sexe en fait. Elle a toujours vécu sa vie sans se préoccuper de se point de son existence et n’a jamais éprouvé le besoin de connaitre se qu’elle ignore. L’hypothèse d’un gène manquant chez les Morgenstern est donc possible, sont-ils asexués? Oui, cela veux bien dire ce que cela veux dire, Leona est belle et bien vierge à trente six ans et n’a pas l’intention de jouer avec un petit monsieur de sitôt. Pas qu’elle refuse, juste qu’aucun homme n’a travaillé assez dur pour passer ses défenses, alors à vos risques et périls.Puisqu’elle n’a aucune envie sexuelle à proprement parlé, elle ne voit pas la nudité comme les autres. Elle n’a donc aucune pudeur et ne pense pas toujours à cela avant de poser certain geste. Elle peut donc très bien changer de chandail devant un inconnu et même ouvrir la porte en sous-vêtement sans la moindre penser tordu envers son acte. Jamais elle ne croirait non plus qu’un homme puisse s’exciter pour si peu. Même si son corps n’est pas là sans en faire baver plus d’un.Leona est aussi des plus déterminé, lorsqu’elle veut, elle obtient. Elle n’aime pas qu’on lui refuse quelque chose, alors elle travaille avec acharnement pour avoir se qu’elle veut. Elle ne se désespère pas et attend le temps qu’il faut pour arriver à ses fins. De cette façon elle peut passer deux ans à la recherche de quelqu’un, comme plus de dix ans aux petits soins d’une autre.Le mot préféré de Leo et aussi celui qui la résume le mieux, est le mot liberté. Elle n’aime pas se faire manipuler, ordonner et encore moins jouer les chatons en cage. La seule chose qu’elle acceptait, c’était la protection de sa mère, elle avait le droit… elle lui avait donné naissance, c’était normale de s’inquiéter, mais sinon, personne n’a main basse sur sa liberté. C’est aussi pour cette raison qu’elle n’a jamais crut bon s’enfermer dans des bonnes manières et dans un confort bon chic, bon genre. Elle n’a donc jamais portée une seule robe de soirée fuiyant se genre de réception comme la peste.Souvent avec le mot liberté, vient le mot solitaire. Après la mort de sa mère, elle n’était plus rattacher à personne, vivant que pour elle seule, ne prenant pas conscience d’un besoin des autres. Elle resta donc seule et adore l’être. Elle peut passer des heures étendues dans l’herbe fraiches à contempler le ciel, autant ensoleillé qu’étoilé. Elle adore aussi le silence. Plus elle peut entendre l’écho de ses pensées, plus elle trouve ça relaxant et constructif.Du à sa solitude, sa paresse et à sa liberté constante, elle est d’une nature très directe. Elle ne passe pas par quatre chemins pour dire ce qu’elle pense trempant tout de même trop souvent dans l’arrogance, le sarcasme, l’ironie et la dérision. Elle n’est pas de celle qu’on dit gentille, attentionnée et naïve. Elle est bestiale, sauvage et souvent elle passe pour bête.Du au trois même traits de caractères, elle n’est pas de ceux qui vont aller naturellement vers les autres. Elle préfère rester dans son coin, répondre si nécessaire, mais pas vraiment plus que cela. C’est pour cette raison qu’elle n’a pas beaucoup d’ami près d’elle et qu’elle ne s’attache à personne ou très difficilement et lorsqu’elle s’attache, elle a trop souvent l’impression d’étouffer sa liberté.Étant fille unique et ayant vécu dans une communauté, elle n’a pas l’habitude de vouloir partager. Elle est même un peu possessive sur le peu de possession qu’elle a. Pour elle, tout est donnant-donnant, alors si elle ne reçoit rien en retour, il y a très peu de chance pour qu’elle vous offre quelques choses par pur bonté d’âme. Suivant cette idée, elle déteste qu’on lui offre des trucs puisqu’elle se sent obliger de devoir quelques choses à l’autres, une sorte de dette invisible qu’elle n’aime pas, mais pas du tout.Lorsqu’on dépasse les barrières de sa méfiance, elle est tout de même beaucoup plus sympathique. Elle adore rire et elle est d’une nature joueuse. Elle se risque même parfois à quelques plaisanteries. À cause de cette façon d’être, les gens qui lui portent attention peuvent lire en elle comme dans un livre ouvert. Elle ne dit jamais se qu’elle ressent, mais lorsqu’elle commence à sourire ou plaisanter, vous entrer tranquillement dans sa bulle de confort. Avec elle, la phrase : « une fille qui rit, est à moitié dans votre lit » est fonctionnelle, même si personne n’y est encore arrivé et qu’elle ne les à pas aidé dans se sens non plus. Pour elle deux valeurs sont des plus importantes : la famille et la franchise. Maintenant qu’elle n’a plus de famille, elle n’est plus tout à fait elle-même, mais la franchise reste une de ses priorités. Petites manies bien drôle, lorsqu’elle réfléchit, son regard par dans le vague, elle passe sa langue sur sa canine supérieure gauche. Si sa réflexion la fait rire, elle n’aura qu’un sourire, mais si elle en vient à penser à des choses plaisantes, amusantes ou interdites ses lèvres s’entrouvriront. Donc, plus le geste est voyant, plus la réflexion est importante ou qu’elle est très présente. Dans se même cas, elle peut tout de même reproduire se geste sans bonheur, regard de prédateur et sans sourire. Dans se cas, l’ouverture de ses lèvres signifient la taille de son intention.Journal de vie L’histoire de sa vie : Chapitre1 : Le commencementLa naissance est un passage obligé, tout comme la mort. Rien de mieux à faire que de naitre, rien de moins à faire que de mourir. La naissance est une finalité, la mort un nouveau commencement. La naissance est une finalité puisqu’elle résulte d’une gestation longue comme trois vies, mais surtout parce qu’elle marque l’achèvement d’un acte, dans le cas de Leona, ça naissance est l’achèvement d’un acte que l’homme nommera bêtise et que la femme nommera, don de Dieu, si Dieu il y a. Il prit la tangente après une nuit bien arrosé, se jour là, il aurait surement put passer pour contrôleur à passer comme un courant d’air comme il le fit. Bien sur, se n’était que des impressions de la petite, puisqu’en réalité elle n’en savait rien. Sa mère lui avait donné le nom de famille de son père, ça elle le savait, mais sinon, rien. Elle apprit par des bribes de conversation que le prénom de son père était Klaus. Elle savait donc un nom complet et c’était tout. Elle grandit donc dans l’ombre d’un homme absent et d’une femme forte. Dès huit mois et demi, elle marchait déjà, appréhendant le monde d’un regard qu’elle seule possédait. Elle avait déjà des allures félines comme sa tête, se blottissant dans les bras de sa mère et de sa tante. Il lui arrivait même d’avoir la mauvaise manie de ronronner et de feuler, manies qu’elle fera taire rapidement. L’absence d’un père la pesait, mais la présence de sa mère la rassurait bien assez. À eux seules, la femme et l’enfant, valaient bien une famille entière d’animaliste par leur lien et leur amour.Chapitre 2 : La découverteAprès avoir commencé à marché, elle apprit trop rapidement la course, explorant aux même rythme que ses pas la menait les habitudes de vie de sa tribu. Elle n’y pouvait rien, c’était leur façon de vivre, donc la sienne. Il n’y avait que très peu de « grande » ville animaliste et c’était ce qu’elle était elle, une animaliste. Quand elle demandait pourquoi, on la grattait derrière les oreilles et elle se mettait à ronronner, alors on lui disait : « c’est pour ça ». Elle fit taire tout de même ses instincts pour mieux affronter le monde. Disons simplement certains instincts, comme celui de baisser le regard devant les mâles. Elle avait quelque chose à prouver. Elle, la seule du clan sans père. Elle voulait prouver à tous que les hommes, se ne sont rien d’autre que des animaliste, qu’ils sont aussi utiles et inutiles que n’importe qui. Elle prit tout de même en compte l’avis des autres, mais pas tant que ça. Elle monta rapidement dans l’estime des jeune, se créant des l’âge de 10 ans un chemin à coup de griffes et de crocs dans la tribu. Elle était rapide, agile et mature pour son âge, elle méritait le respecte des plus vieux aussi et ils l’a remarquèrent rapidement. Toute sa jeunesse fut tout de même peuplée de jeux et d’amitié. Elle était la meilleure de son âge à la cachette, surtout lorsqu’elle comptait, mais son jeu préféré et non le moindre à jamais : jouer à chat!Chapitre 3 : La vieElle vécu une adolescence tout ce qu’il y avait de plus banale pour une animaliste des tribus libres. Passant de village en village, restant nomades ne s’établissant jamais aussi longtemps. Les vieux s’amusaient à dire que les animalistes retournaient à l’époque de nos ancêtres, faisant comme les humains d’avant, ceux qui avait encore du bon sens et qui suivaient les troupeaux pour se nourrir, respectait la nature. Bien sur, la vérité était tout autre, mais peu aimait l’entendre. Les tribus Animaliste libres étaient surement les rebelles les moins libres, les plus à risques de « disparaitre ». Il faut dire que même le plus nobles des animaux ne possèdent que sa détermination et ses jambes pour survivre et trop souvent, qu’est-ce qu’on retrouve dans les zoos, les yeux ternes et l’âme morte? Le roi de la jungle. Les tribus ne sont donc jamais tout à fait libres, préférant parcourir le monde et ne jamais se laisser pister par les « autres ». C’est autres, personnes de sait trop qui ils sont. Les animalistes étant le groupe le plus solitaire et le moins tremper dans cette guerre, ils n’ont aucun ennemi, mais aussi aucune alliance. Elle parcourut donc le monde avec la seule force de ses jambes et de celle de sa mère. La plupart des enfants on leur père pour cela, mais elle n’en avait pas, alors à l’adolescence elle était une jeune femme forte et bien fière. Elle pouvait tout faire et surtout mieux faire que tous, bravant ainsi les hommes de son culot et de sa force. Ses pouvoirs mutants avaient toujours été présents dans son sang et vers l’âge de 10 ans, ses premières griffes apparurent. Elle avait un caractère bouillonnant, alors on voyait souvent bien plus ses pupilles rectilignes que ses petites perles rondes caractéristiques humaines. Vers douze ans, les sorties ses premiers dards aux grands plaisirs de sa mère. Elle avait tuer une proie de cette façon, étant considéré à main nu, donc plus forte que plusieurs gamins de son âge. Vers l’âge de 16 ans, elle fut nommée par son impertinence et sa force de caractère comme chef de groupe. Ces groupes non rien de banal pour les Animalistes des tribus libres, se sont ses groupes qui ramène de la nourriture au clan. Les vieux n’appréciaient guère les grandes villes, mais elle, elle n’était pas impressionnable. Déjà elle gardait son apparence de ses treize ans, ralentissant sa courbe de croissance.Chapitre 4 : La mortElle avait finalement une apparence d’à peine seize ans lorsqu’elle s’installa avec sa mère dans une ville fortifiée animaliste. Sa mère le prenait beaucoup plus mal que la fille, mais elle n’avait plus la capacité pour se déplacé. Elle était malade, personne ne savait vraiment ce qu’elle avait. Après plusieurs analyses médicales et deux bonnes années de sa vie. Sa mère fut diagnostiquée atteinte d’une sclérose latérale amyotrophique, c’était rare et surtout, personne ne savait trop comment c’était arrivée là. Le plus dur, c’était que la maladie paralysait progressivement tous les muscles de sa mère et quand le corps d’un animaliste le lâche, souvent la tête ne suit plus. Alors, c’est à une vitesse lente et rageante que Leona sentit sa mère la quitter. Lors d’une de ses nuits de lucidité, l’une de ses dernières en fait, que sa mère prit le temps d’écrire une lettre, une lettre en Allemand, la langue natale de Leona. Elle y mit tout son temps, se servant souvent de la main de sa fille comme appuie. Personne ne connaitra surement jamais se petit coté très attentionné d’elle, mais avec sa mère, il fut présent. Elle s’éteignit quelques jours plus tard. Sa mère lui avait demandé une dernière chose, d’apporter la lettre à un homme. Bien sur, Leona ne posa aucune question et accepta. Elle connaissait le contenu de la lettre, elle s’adressait à son père. Oui, oui, son père à elle. C’était une sorte de lettres d’excuses, l’excuse de lui avoir caché la naissance de Leona et aussi, de n’avoir jamais cherché à le retrouvé. Chapitre 5 : La chasseIl n’était pas si simple de retrouver un homme. En fait, non c’est simple lorsque vous êtes sur le même continent que lui. Pas quand vous ne savez pas ou il est et que vous savez simplement ou il se trouvait de cela trente-quatre ans. Elle retourna donc à l’endroit initiale de leur rencontre et aussi de sa conception. Sa mère lui avait légué un petit journal intime, alors elle n’était pas trop perdue. Bien sur, voir les édifices, les lieux, les odeurs avec description en directe de sa mère à l’époque la rendait nostalgique, mais elle n’abandonna pas. Une dernière volonté c’était sacré même si elle n’était pas de celle à bouger beaucoup, cherchant toujours à faire au plus vite et au plus simple. Elle parla avec des vieux de l’endroit, étrangement son père passait très inaperçu. Surtout qu’un « je recherche un Klaus Morgenstern, il était ici il y a trente-quatre ans, il est animaliste… Dans une ville animaliste ce n’était pas des plus simples. Elle rencontra finalement un homme qui la pista sur un autre homme qui l’envoya voir un autre homme et elle suivit finalement une piste de salon de tatouage. C’était donc de là qu’elle avait tiré son talent en dessin. Elle en découvrit très peu sur son père, son passé était flou, mais la trace se rafraichissait. Au bout de deux ans, elle mit finalement les deux pieds à Chicago. Il était ici, les registres qu’elle avait « emprunté » à un des nettoyeurs qui surveillait l’entré de la ville marquait entré, mais ne mentionnait aucune sortie. C’est ainsi qu’elle pénétra dans la ville, sa quête était presque fini, manquait plus qu’à le traquer au flaire.À savoir
Célébrité choisit pour l’avatar : Cosma Shiva Comment êtes-vous arrivé ici? Eum… pas vraiment besoin de le dire hein? XD Questions en tout genre/Commentaires?
Dernière édition par Leona Morgenstern le Lun 14 Déc - 16:10, édité 2 fois | |
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