Et une journée ensoleillé, une! [Masaki] (terminé)

Imma, c’était réveillé rapidement de matin là. Pas le choix, elle dormait trop et les cadrans c’étaient le mal incarné. Après une douche rapide, le sommeil était complètement chassé et bien loin. Le sommeil c’est mal, le cadran c’est mal. Bref, tout se qui entour un quelconque réveil c’est mal. Elle se sécha rapidement les cheveux, les laissant frisotter naturellement, pas le temps de jouer avec un fer plat pendant trois heures non plus. Elle se maquilla, chose qu’elle faisait tous les jours comme la gentille femme qu’elle était. Sa mère lui avait bien apprit cela, c’était certain. Ça et l’a gentillesse, c’était les deux choses que sa mère lui avait apprise.

Elle enfila une jolie camisole blanche, un petit par-dessus noir. Des jeans taille-basse noir. Elle était confortable. Elle enfila des bracelets aux hasards et une bague. Elle était toujours bien habillée. De façon normal, mais bien habillé quand même. Sa camisole laissait pendre des lacets, mais elle s’en fichait un peu, elle était si bien dans ses vêtements. Elle prit le temps de bien déjeuner. Le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée! Elle prit deux tartines beurre d’arachide, fraise. C’était si bon les mélanges. Avec un grand verre de jus d’orange et un grand verre de lait, elle était prête à affronter une terrible journée de paperasse en tout genre. Elle se rendit lentement à son travail, elle avait toujours de l’avance de toute façon.

Elle n’avait rien à faire d’autre que d’écouter sa musique et de marcher, c’était bien marcher. Son manteau et ses bottes étaient encore nécessaire, mais elle s’en débarrasserait bien un jour. Son bureau arriva rapidement. Être une secrétaire, se n’était pas très pénible. Elle mit simplement ses souliers style ballerine pour remplacer ses bottes mouillées. Elle était confortable pour une merveilleuse journée, il faisait beau et chaud à l’extérieur. Tout fondait, c’était bien. Sa peau rayonnait à peine, lui donnant simplement un aspect luminescent ou angélique, c’était au choix.

Elle travailla quelques heures, rien de bien pénible. Les archives, c’était peut-être ennuyant pour certains, mais elle, elle s’y plaisait. C’était son petit monde à elle après tout. Elle n’était pas pressée de prendre dans les échelons. Elle était donc assise à son bureau, prenant un appel ou deux, écrivant sur son ordinateur. Elle était simplement… à son affaire.

La journée avait plutôt bien commencé pour Masaki. Il c’était réveillé avant même que le réveil-matin ne le lui somme et il avait eu amplement de temps pour le fermer. Une journée de plus sans réveil qui vous sommes de vous lever n’est rien d’autre qu’un bon début de journée. Une fois debout, et le réveil étain, il s’étira. D’abord le haut du corps, c’est important de commencer par là si l’on se fit à la manière que les chats s’étire après leur roupillon, ensuite le bas du corps. Une journée de marche l’impose et puis si l’on se fit encore une fois au chat, c’est la deuxième chose qu’il font après avoir étiré leurs pattes avant. Bref, Masaki se dirigea ensuite à sa cuisine. Il n’avait pas vraiment le temps de se faire un petit déjeuner comme il les aimait, mais il en avait assez pour se faire de quoi pour que ça soit suffisamment consistant jusqu’à l’heure du dîner. Ensuite il alla finir de s’habiller. Parce que oui, il n’avait mis qu’un simple paire de pantalon comme le paresseux qu’il était. L’heure du départ sonne et Masaki, comme à chaque jour, déposa un bis à l’aide de son index et de son majeur droit sur la photo de sa défunte bien-aimée.

Le trajet jusqu’au quartier général fut assez court et il ne fut pas déplaisant. Vue qu’il était de bonne humeur et qu’il n’était anti-sociale ce matin là, il ne regarda pas l’heure tout le long du trajet. Par contre, il se demandait s’il allait travailler avec ses co-équipier aujourd’hui. Cela devait faire déjà plusieurs semaines qu’il ne les plus que dans les couloirs des nettoyeurs. Même s’il préférait se la jouer solo, il s’ennuyait tout de même des explosions de colères de Meg, de l’utilité des pouvoirs de Loïc, mais de Mike, disons juste que Masaki ne l’aimait juste pas. C’était sans doute totalement irraisonnable, mais il n’y pouvait rien. Dès leur premier contact il n’avait été capable de le sentir.

En arrivant au QG, Masaki prit le dossier qu’on lui donna. Le dossier consistait à retrouver une personne ayant fait du grabuge et qu’il fallait la ramener pour qu’elle reçoive les sanction auxquels elle devait faire face. Un autre travail de recherche, il n’avait pas le grade d’inspecteur, mais ses supérieurs jugeait sans doute qu’il avait le talent nécessaire pour y arriver. Masaki prit en compte tout ce que le dossier lui donnait, mais il lui manquait plusieurs informations qu’il considérait importante. Alors il chercha sur l’un des ordinateurs les informations qu’il cherchait, mais il due se rendre à l’évidence que ces infos étaient seulement manuscrite. Il se rendit ainsi au bon étage pour ce dossier. Il faut bien s’avouer qu’il y a beaucoup plus qu’une seule salle des archives dans ce quartier général. Bref, il arriva devant la secrétaire. Elle était assise devant son ordinateur, elle semblait rayonner. Masaki n’était pas sûre de lui si c’était son imagination qui lui jouait un mauvais ou si la secrétaire rayonnait pour vrai. Il déposa doucement le dossier sur le bureau de la secrétaire au cheveux doré.

«Pouvez-vous me donner les antécédent psychologique, s’il y en a, et les anciens lieu de résidence de cette personne s’il vous plaît? »

Décidément, elle était vraiment mignonne cette secrétaire, comparer à certaines qui avait un air de renfrogné qui semblait être immuable, même avec le sourire.

Elle ne s’ennuyait pas, une secrétaire à son affaire ne s’ennuyait jamais en fait. Fallait juste être à son affaire. Il y avait toujours de la classification, de la remise à neuf de dossier, du retapage, retrouver des dossiers, les replacer. Bref, elle était une bonne secrétaire, Imma n’était pas si fière de son emploi, mais elle l’était surement plus qu’une majorité des habitants de cette ville. Les gens ne savait plus apprécier se que la vie leur offrait. Un homme arriva, elle releva ses yeux azurés sur lui, du travail en perspective. Elle lui fit un magnifique sourire, gentil et chaleureux. Elle était une bonne hôte en tout temps. Le métier de secrétaire lui allait à ravir.

-Bonjour, que puis-je faire pour vous?

«Pouvez-vous me donner les antécédent psychologique, s’il y en a, et les anciens lieux de résidence de cette personne s’il vous plaît? »

-Bien sur, j’aurai juste besoin de votre matricule et je vous trouve ça.

Elle restait souriante, ne le fixant pas trop dans les yeux, c’était impoli. Elle se passa légèrement une main dans les cheveux, ouvrant son dossier de recherche pour employé. C’était le protocole, personne ne pouvait lui en vouloir. Monsieur-madame tout le monde ne pouvait pas entrer au archive et demander à avoir le dossier complet sur un autre individu, il y avait du respect au sein de l’Agence. Un minimum au moins. On pouvait savoir se que vous aimiez manger au petit déjeuner, mais pas de là à donner l’information à tout le monde. Seuls certains membres avaient le droit, d’où le matricule était nécessaire. Elle s’attendait à trois choses. Choix un, un passe de l’Agence. Petite carte magnétique avec photo et information personnelle. Deuxième, un badge de nettoyeur un peu à la policière avec un code barre scannable derrière la petite plaque. Le scan c’était merveilleux. Troisième chose et plus rare, une puce scannable intégré à un bijou quelconque. Simplement ornée d’or, d’argent, du bronze, avec comme seule fioriture une lettre et des sortes de vague, selon l’importance de la personne dans la haute importance, les vague augmentaient jusqu’à s’annuler. On dit que la chevalière de Ryker n’en portait aucune, mais… elle ne l’avait jamais vue pour pouvoir en juger.

Après le scan, viendrait les formalités, des petites questions sur ses informations personnelles. Un formulaire à remplir, une signature digitale et un enregistrement de sa signature sur le pad électronique sous le formulaire. C’était nécessaire quand même. Elle se prépara donc à la paperasse à faire pour pouvoir lui servir au mieux sa réclamation. Elle ne doutait pas le moindre du monde qu’il soit de l’Agence ou des nettoyeurs. Pourquoi donc un étranger voudrait avoir accès à cette information, surtout qu’il avait un dossier, à la couleur, la notification, il devait être nettoyeur. C’était un peu en désordre tout ça, mais c’était ça les nettoyeurs. Elle ne pouvait donc rien faire de plus que d’attendre les réactions de l’homme. Elle était toujours aussi souriante et légèrement rayonnante. C’était bien quand même ce job. Il y avait un grand espace et le tout était vitré. Rien de telle que beaucoup de lumière pour éradiquer son rayonnement ou donner l’impression que c’était l’extérieur qui donnait cette illusion d’optique.

-Bien sur, j’aurai juste besoin de votre matricule et je vous trouve ça.

Bien entendu il fallait qu’il présente son badge. Il ne pouvait pas obtenir de tel informations sans prouver qu’il avait la certification pour les obtenir. Il y a une jolie lois à ce sujet, elle existe depuis des lustres et des lustres. Mais parfois cette toute petite lois pouvait s’avérer bien déplaisante et fastidieuse à faire respecter. Par contre, Masaki comprenait l’importance de cette lois, même s’il aurait préférer ne pas devoir se taper le nez à ce petit mur à chaque fois. Entre-temps, Masaki glissa sa main dans la poche où il serrait habituellement son badge et… Où était passé son badge?! Il fouilla toutes ses poches nerveusement. Mais où il était passé ce foutu badge?! Masaki pensa immédiatement à son casier au vestiaire. Il se gratta l’arrière de sa tête et :

«Je reviens avec dans quelques instants, j’ai dû le laisser dans mon casier. »

Sur ces mots, Masaki s’éclipsa vite fait dans l’ascenseur. Déjà que ce n’était pas la première fois qu’il l’oubliait, il ne voulait pas que son supérieur direct ne puisse soupçonner quoi que ce soit. Si tel était le cas, il aurait droit à un autre drame à ce sujet. Pour faire court, Maskai n’avait plus assez de doigt et d’orteil pour compter le nombre de fois qu’il avait oublié son badge chez lui et seulement chez lui. Au bout d’un interminable descente dans l’ascenseur, Masaki arriva au vestiaire. Par chance, il l’avait laissé dans son casier. Maintenant qu’il était soulager il retourna à l’archive de la secrétaire souriante. Étrangement, elle l’avait marqué, mais Masaki ne voulait pas se laisser aller à de tels frivolités pour l’instant. Ces frivolités du genre masculin, il ne pouvait vraiment pas se les permettre. Il avait encore un peu de ménage à faire dans sa tête, mais l’idée de discuter avec elle en dehors du travail ne lui avait qu’effleurer l’esprit et elle ne lui avait pas déplut. Bref, il y verrai en temps et lieux, rien ne pressait, et pour l’instant il avait une enquête à faire avancer. Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent à nouveau sur l’étage des archives. En entrant, Masaki remarqua qu’il avait laissé le dossier sur le bureau de la secrétaire. Personne ne lui avait touché, à ce qu’il lui semblait au premier coup d’œil, au dossier, mais il aurait été dans de salle draps s’il aurait fallu qu’il perde ce dossier. Décidément, sa poisse légendaire finissait toujours par le rattraper.

«Voici mon badge. Désolé pour l’attente. »

Masaki avait son sourire benêt sur ses lèvres et il ramassa le plus subtilement possible le dossier de son enquête. Non pas celui qu'il avait demander, mais celui qu'il avait oublié sur le bureau de la secrétaire.

Elle le vit chercher son badge et chercher son badge et finalement… faire toute ses poches pour trouver son badge. Finalement… il ne trouva pas son badge, ah les hommes… que voulez-vous, toujours la tête en l’air. Elle lui fit un petit sourire compatissant, mais… il lui fallait se badge. C’était nécessaire. Il n’était pas le premier non plus à l’oublier, la plupart oubliait toujours quelque chose en fait. Si ça continuait, elle allait croire que l’idée de l’implant ou du code barre tatoué à même la peau était une bonne idée… L’administration était un peu drastique, mais plus de perte de temps inutile. Personne ne pouvait oublier sa peau à la maison. Elle espérait juste que l’homme ne l’ait pas oublié à la maison… sinon le pauvre, il en aurait pour un petit moment…

«Je reviens avec dans quelques instants, j’ai dû le laisser dans mon casier. »

-Bien sur, prenez votre temps.

Elle lui fit un petit sourire avant de retourner à son dossier. Elle était là toute la journée de toute façon, à quoi bon s’inquiéter, s’il voulait revenir, qu’il revienne et ses tous. Son dossier n’était pas bien compliqué, certains fichier avait été corrompu lors du dernier transfert de serveur… les mises à jour, c’était mal, très mal! Donc, c’est dossier corrompu était à retrouver et replacer ou retranscrire s’il avait été perdu totalement. Ils avaient une archive papier, une base de donnée codé et une base de donnée à même le réseau, c’était long, mais au moins Imma se sentait payé pour quelques choses, elle n’était pas de ses secrétaire qui se limait les ongles en attendant le prochain appelle… Elle aimait son travail, mais surtout, elle l’aimait bien fait. Elle remarqua tout de même que l’homme avait oublié son dossier. Il allait donc revenir c’était certain et s’il ne revenait pas… elle devrait aller le porter au bureau des nettoyeurs. Pas le choix, c’était là où il allait. Elle reconnaitrait se genre de dossier n’importe où. C’était classé sous l’ancien code de numérotation et les carrés de couleur entourant les chiffres n’étaient plus les bons. Les nettoyeurs devaient se mettre à jour, mais… il manquait d’effectif et l’Agence n’avait pas l’argent pour payer des heures supplémentaires à des secrétaires comme elle pour tout replacer comme il le fallait. En fait, non, c’est faux. Il avait l’argent, mais n’en voyait pas encore l’utilité. D’autre changement était en cours… L’Agence changeait toujours d’idée de toute façon, se n’était pas nouveau. Elle eut le temps de revoir trois dossier avant que l’homme ne revienne, mais il revint, c’était important quand même. Il lui éviterait une petite marche de santé jusque chez les nettoyeurs. Lorsqu’elle le vit réapparaitre, elle changea immédiatement son fichier pour celui du scan, il devait bien l’avoir son badge, il ne serait pas revenu sinon. Elle lui décocha un magnifique sourire pour lui resouhaiter une sorte de bienvenu.

«Voici mon badge. Désolé pour l’attente. »

-Ce n'est pas grave.

Elle prit son badge en main et le scanna. Elle le vit récupérer son dossier et souhaita qu’il ne le mette pas trop loin, elle n’avait pas prit les informations du dossier pour lui permettre de faire ses recherches convenablement. Elle savait se qu’il voulait, mais pas sur qui ou sur quoi, donc… elle préférait qu’il ne soit pas trop loin pour lui éviter des mouvements supplémentaire.

-Donc, c’est bien parfait monsieur Karasuma. J’aurais juste quelques questions pour la forme. Le nom complet de votre mère? Et le nom d’au moins deux de vos coéquipiers?

Elle le regardait, c’était nécessaire. Elle devait poser deux questions bien différente l’une de l’autre, de cette façon, elle créait une petite barrière contre le vol d’identité. Avec les métamorphes de nos jours, c’était important de vérifier. Pour entrer dans les archives, il n’en fallait pas plus, mais pour les archives plus secrète il y avait le scan rétinien et celui top confidentiel, il se rajoutait à cela le scan des empruntes digitales. Elle y avait accès, surtout parce que ses empruntes digitales étaient un peu spécial. Elle illuminait, donc le scan n’arrivait pas à lire parfaitement. Donc, il avait du calibrer l’appareil à sa fréquence. De cette façon, personne sans son pouvoir ne pouvait se faire passer pour elle. Les métamorphes couraient les rues, mais pas les copies de pouvoir, donc c’était plus sécuritaire. Avant qu’il ne lui autorise l’accès, elle avait eu droit à plusieurs tests en tout genre, mais s’il y avait bien quelques choses qui ne l’intéressait pas, c’était de fouiner dans des dossiers. Elle ne retenait même pas les mots qu’elle retranscrivait en général. Elle s’en fichait, elle n’avait pas envie de se saturer les méninges d’informations politiques ennuyantes.

-Parfait, maintenant juste me remplir se formulaire de prise de possession d’archive. Ensuite signer ici et là et je vous trouve le tout.

Elle lui souriait en lui tendant un stylo. Elle était habituée à son emploi. Elle était toujours d’une humeur irréprochable et lumineuse. C’était surement pour cette raison qu’à 24 ans, elle était déjà secrétaire pour les archives de l’Agence. Qui sait, elle l’aurait peut-être un jour sa vue sur tout Chicago… Dernier étage de la tour, c’était quand même ça… son but premier. Si but il y avait bien sur…

«Voici mon badge. Désolé pour l’attente. »

-Ce n'est pas grave.

À ces paroles, le sourire benêt de Masaki devint un franc sourire. Elle avait vraiment un don pour son travail cette petite secrétaire. Elle avait désamorcée la gêne et la petite parcelle de honte de Masaki en un claquement de doigt. Finalement elle avait un «petit je ne sais quoi » qui lui plaisait. Son sourire franc ne dura qu’un seconde et se réduisit à un tout petit constant. L’idée de vouloir discuter avec elle en dehors du travail lui revint à l’esprit et cette fois l’idée trotta plus longtemps dans sa tête. Lorsque la secrétaire aux cheveux doré reprit la parole, il fit fît de son envie et reprit son professionnalisme en main.

-Donc, c’est bien parfait monsieur Karasuma. J’aurais juste quelques questions pour la forme. Le nom complet de votre mère? Et le nom d’au moins deux de vos coéquipiers?

Ha oui! Ces autres procédures tellement lassante que Masaki devait faire, en plus de montrer son badge, pour prouver son appartenance aux nettoyeurs. Toutes ces choses étaient importantes, mais Masaki ne les aimait pas lorsqu’il voulait avoir des informations pour l’un de ses dossiers.

«Bien sûr. Donc, ma mère c’est : Toshiko Karasuma. Et pour mes deux co-équipier : Loïc Johnson et Megane Solyher. »

-Parfait, maintenant juste me remplir se formulaire de prise de possession d’archive. Ensuite signer ici et là et je vous trouve le tout.

Manquait plus que la dernière étape pour obtenir ce qu’il voulait. Il prit le stylo que la secrétaire étrangement lumineuse et souriante lui tendit. Il remplit vite fait le formulaire. Signature par-ci, signature par-là et puis plus rien, sauf peut-être une recherche infructueuse, ne pouvait l’empêcher d’obtenir ce qu’il voulait. Son enquête allait enfin pouvoir commencer! Quand Masaki releva la tête, il croisa le regard bleu de la secrétaire. Décidément, cette secrétaire au cheveu doré ne cessait de le charmer. Il ne le savait pas encore, mais le charme naturel de cette secrétaire allait lui causer des tourments émotionnels. Suite à cela, Masaki remit le formulaire et il attendit que damoiselle aille chercher les documents qu’il avait demander. Masaki se laissa hypnotisé par le mouvement des cheveux doré et bouclé. Il avait de la difficulté, visiblement, à rester professionnel face à elle. il n’y comprenait absolument rien. Il avait beau chercher pourquoi et comment elle s’y prenait pour lui ravir son attention. Était-ce un pouvoir qu’elle possédait ou bien c’était simplement dans sa tête que le tout se passait? Une envie lui vint à brûler ses lèvres, mais il la renfonça aussitôt qu’elle apparut. Il ne pouvait pas lui demander une telle chose, ça ne serait pas professionnel. À moins qu’il ne lui demande qu’en tant que collègue. Cette idée n’était pas folle, mais est-ce qu’elle le percevrai comme tel aussi? Il ne le savait pas et il se résigna à nouveau à son idée de départ : de laisser ses idées fugaces à ses désirs oubliés.

«Dois-je vous répéter le nom, demoiselle Lablanche? »

Il n’avait pas vue de bague à la main de la damoiselle et il voulait juste voir sa réaction.

«Bien sûr. Donc, ma mère c’est : Toshiko Karasuma. Et pour mes deux co-équipier : Loïc Johnson et Megane Solyher. »

-Parfait, maintenant juste me remplir se formulaire de prise de possession d’archive. Ensuite signer ici et là et je vous trouve le tout.

En moins d’un coup d’œil, elle avait vue que les résultats étaient les bons. Maintenant, manquait plus que le formulaire et le tour serait jouer. La paperasse était finalement terminée. C’était bien quand même, elle aimait l’ordre, l’ordre c’était toute sa vie d’une certaine façon. Bon d’accord, il faut spécifier l’ordre de tout se qui est classable et rangé, mais parfois… elle pouvait très bien se laisser aller, surtout avec du linge sur un plancher, bref…

«Dois-je vous répéter le nom, demoiselle Lablanche? »

-Non, non, je me souviens du numéro de dossier. C’est aussi performant qu’un nom.

Elle pianota légèrement sur son clavier, se remémorant les chiffres du dossier qu’elle avait vue au préalable. Elle avait une excellente mémoire de travail, donc… elle arrivait à se souvenir entre sept et onze items à la fois. Parfois un peu plus si elle se concentrait. Elle trouva finalement se qu’il lui avait demandé. Donc, anciens lieux de résidences, filières 1034, tiroirs deux, 43ième dossiers. C’était clair. Ensuite, antécédents psychologique. Filières 341A, tiroirs trois, 89ième dossiers. C’était clair, précis et facile à trouvé. Elle se leva donc lentement, s’étirant un peu. Sa chaise ergonomique était bien, mais quand même, rien ne valait un peu d’exercice.

-Je reviens dans quatre minutes.

Elle replaça ses bracelets d’un mouvement bref du poignet, les faisant légèrement sonner les uns avec les autres pour ensuite rentrer dans un corridor. C’était les archives faciles d’accès. Rien de bien important quand même. Elle trouva rapidement le dossier en question. Elle laissa le classeur légèrement ouvert pour retrouver l’endroit ou le rangé. Elle changea rapidement de corridor pour trouver l’autre. Toujours aussi rapidement. Quand c’était bien classé, c’était tellement plus simple. Elle fit le même manège avec le second casier. De toute façon, se n’était pas dramatique s’ils restaient déverrouillés quelques minutes, tout était derrière son bureau et personne n’y avait accès sans soit l’enjambé, soit la carte magnétique de l’endroit. Donc… aucun risque. Elle fit les photocopies qui lui étaient nécessaire, joignant le sceau du « copie de dossier de l’Agence » en haut à droite. C’était important pour la notification des dossiers. Ne pas surclassé les dossiers non plus. Elle mit les pages nécessaires dans un dossier possédant l’emblème des archives. Elle rangea rapidement les dossiers et retourna à son bureau. Elle y prit place avant de glisser le dossier à l’homme.

-Tenez, les antécédents psychologiques et les anciens lieux de résidences de votre homme.

Elle avait donc fini son job maintenant. C’était toujours bien ainsi quand même. Elle lui fit un magnifique sourire et termina avec un simple.

-Puis-je encore faire quelque chose pour vous, monsieur Karasuma?

Elle était toujours extrêmement polie. Elle n’avait rien à se reprocher dans ses entretiens. Elle était mignonne, rayonnante, souriante et agréable. Jamais une seule plaintes à son actif. Elle était tout simplement la parfaite secrétaire de bureau. Elle n’avait pas d’autre ambition, mais sa ne lui enlevait en rien toutes ses nombreuses qualités.

«Dois-je vous répéter le nom, demoiselle Lablanche? »

-Non, non, je me souviens du numéro de dossier. C’est aussi performant qu’un nom.

Masaki avait vu juste, elle ne semblait pas avoir de fiancée et peut-être pas de petit ami. Alors l’inviter ne serait pas trop dangereux, mais sans doute qu’elle avait d’autre prétendants. Masaki n’aimait pas cette idée. S’il fallait qu’il tombe sur l’un de ceux qui avait tendance à parler avec ses pouvoirs, ou ses poings, bien avant de parler tout simplement. Masaki devrait se défendre et cela ne plairait peut-être pas à la petite demoiselle aux boucles dorés. Mais ce petit regard ne cessait de lui faire perdre le petit peu de raison qu’il tentait de garder le plus possible.

-Je reviens dans quatre minutes.

Masaki lui répondit et, une fois que la demoiselle aux cheveux bouclés disparu dans les archives, il poussa un soupir tout en haussant les épaules. Il se mettait de plus en plus dans de sales draps en pensant à cette secrétaire. Pendant cette petite suite d’idée, il croisa le regard d’une des archivistes, celle-ci le regardait avec un air qui voulait dire : encore un autre… Masaki fronça légèrement les sourcils en la regardant et l’archiviste disparue vite fait. Il venait peut-être de se mettre un autre pieds dans les plats ou peut-être qu’il venait de devenir un autre prétendant sans avenir, mais il ne voulait pas penser à de tels choses. Les quatre minutes passèrent rapidement.

-Tenez, les antécédents psychologiques et les anciens lieux de résidences de votre homme.

«Merci. »

Masaki lui renvoya un sourire à son tour. Elle l’avait sortit de ses pensées brusquement et il avait failli sursauter, tant il était absorbé par ses pensés.

-Puis-je encore faire quelque chose pour vous, monsieur Karasuma?
«Et vous? Que puis-je faire pour vous? »

Cette phrase avait dépasser ses lèvres! Et avant même qu’il puisse y avoir pensé à lui dire! Il rougit légèrement et ses yeux s’écarquillèrent légèrement. Il ne s’avait plus quoi dire et cherchait désespérément ses mots. Des tonnes de scénario catastrophique se déroulèrent à une vitesse folles dans sa tête. En une seconde, Masaki prit les documents, souhaita la bonne journée à la petite secrétaire et il disparu vite dans l’ascenseur. Par chance, Masaki se retrouva seul pendant les trois premiers étages de descente. Une main se le visage, il entama une discussion avec lui-même :

«Mais à quoi j’ai pensée là haut?! Ça n’a pas de sens ce que je viens de faire. Faut que je l’oublie! »

Masaki continua sa descente en se maudissant.

«Merci. »

Donc, son travail avec ce client serait fini bientôt et un autre client satisfait. Ça lui plaisait beaucoup quand même. Elle détestait offrir un mauvais service. Elle lui souriait toujours, attendant de voir s’il lui manquait quelques choses encore. Il ne partait pas, donc, aussi bien lui demander pour être sur que tout soit bien pour lui. Ensuite, elle pourrait continuer son classement.

-Puis-je encore faire quelque chose pour vous, monsieur Karasuma?

«Et vous? Que puis-je faire pour vous? »

Il lui avait retourné sa question de façon assez bizarre en fait, elle ne put pas s’empêcher de sourire, riant silencieusement. Que pourrait-il bien faire pour elle? Rien du tout. Il était dans son bureau et il n’avait rien d’autre à y faire. Elle, elle devait travailler quand même. Elle était payée pour ça. Elle rigolait, mais pas vraiment de sa phrase, surtout de la tête qu’il faisait en disant cela. Il avait l’air gêné et surpris, donc… c’est qu’il pensait autre chose que du professionnel c’est ça? Elle ne savait pas si ça venait de sa tête ou non, mais… la gêne y était. Elle se passa donc nerveusement sa main dans ses cheveux en essayant de réguler l’augmentation de son rayonnement, toujours en le regardant dans les yeux, mais… elle régulait mal quand même. Elle avait rayonné un peu plus, mais… il partie très vite, elle aurait le temps de retrouver sa couleur naturel quand même.

-Attendez!

Trop tard, il était partie. Pourquoi le : attendez? Simplement parce qu’elle avait une jolie plaque de nettoyeur encore sur son bureau. Elle se leva donc, prenant la plaque dans ses mains. Il c’était sauvé par l’ascenseur, il allait surement remonter par là. Elle se rendit à la porte de l’ascenseur, elle sentait qu’il n’allait pas tarder, sinon… elle devrait soit le recontacter, soit le donner à son supérieur et perdre une plaque, ce n’était pas très bien vue quand même. Elle l’attendait donc devant l’ascenseur, de toute sa taille, donc… pas si grande, mais de bonne taille bon! Un peu à l’ombre, se qui faisait ressortir sa luminosité perpétuel pour finalement, sourire aux lèvres attendre patiemment. Il était très drôle quand même le nettoyeur. Très intéressant aussi. C’était agréable dans une journée de travail.

Masaki ne cessa de se maudire tout le long de sa descente en enfer. Il continua même, intérieurement, jusqu’à son bureau. Il s’était promis de ne pas s’intéresser pour qui que ce soit avant longtemps et le voilà qui commençait à vouloir voir une, for jolie, jeune femme en dehors du cadre du travail. Il n’y croyais tout simplement pas, mais, en même temps, il avait un certain vide dans sa vie depuis quelque semaines. Son amertume au sujet de la mort de sa défunte bien-aimée avait diminuée durant ces semaines là. ce pouvait-il qu’il avait un faible aussi peu subtil pour elle…?

Entre temps, Masaki avait tenté de noyer toutes ces questions dans la préparation son travails, mais rien ne semblait lui faire oublier la petite secrétaire au boucle doré. Il en était même venus à se demander si ce n’était pas tout simplement passager et encore une fois ce doute fut dissipé rapidement.

Il semblerait que je m’attache plus que je ne le voudrais à elle… pensa-t-il en se calant dans son siège

Cette dernière pensée résonna longtemps dans la tête de Masaki et il aimait plus ou moins l’effet qu’elle produisait sur lui. Avec le temps, Masaki avait réussi à reprendre sa lecture du dossier de sa mission. Il avait réussi à se monter un bon dossier de retraçage et il en était bien content, mais quelque chose le tiquait depuis qu’il avait réussi à se concentrer sur son travail. Il chercha un bon moment et il eu un flash, il avait oublier, avec tout ce qu’il s’avait passé avec la secrétaire, son badge. Il l’avait oublié une fois de plus! Masaki se cogna le front avec la paume de sa main et il se dirigea vers l’ascenseur le cœur léger… un peu trop léger. Son ascension vers l’étage, où il avait oublier son badge, se déroula sans qu’il se soucis du fait qu’il allait revoir la jeune femme.

Quand les portes de l’ascenseur s’ouvrit, un vent de rafraîchissement lui rappela, comme s’il venait de rentrer dans un mur, qu’il «s’attachait » à la secrétaire au cheveux dorés. Il hésita une demi seconde, mais il avança tout de même. Il cacha du mieux qu’il le put sa controverse intérieure. Néanmoins, il était incapable de faire disparaître ce petit sourire au coin de ses lèvres qu’il avait sur son visage.

«Pardonnez-moi mademoiselle Lablanche, mais auriez-vous vue par hasard mon badge? Je croît l’avoir oublié ici. »

Elle avait prit du temps à remarquer le badge, mais finalement… Elle attendait l’homme quelques minutes. Sinon, elle devrait aller le porter à la réception et/ou à son chef. Elle appuya donc sur le bouton de l’ascenseur pour descendre, quand la porte s’ouvrit et que l’homme remonta. Il lui souriait. Elle lui répondit donc par un magnifique sourire à la Imma. Pourquoi pas, il avait refait tout le chemin là non? Il n’avait plus son dossier, il était donc simplement revenu chercher son badge. C’était quand même embêtant d’oublier et d’avoir la tête ailleurs. Imma en savait beaucoup sur son sujet, mais elle. C’était surtout ses lunchs et son sac à main qu’elle oubliait, mais ça, c’était une toute autre histoire finalement.

«Pardonnez-moi mademoiselle Lablanche, mais auriez-vous vue par hasard mon badge? Je croîs l’avoir oublié ici. »

Elle passa machinalement une main dans ses cheveux avant de lui tendre le badge de l’autre. Toujours tout sourire. Imma n’était pas de celle qui ne souriait pas. Elle adorait sourire, elle trouvait que sa mettait du bonheur dans les petites choses. Elle rayonnait faiblement, mais ça se voyait un peu plus, elle n’était plus dans les rayons directes du soleil, mais ce n’était pas flagrant. Elle faisait des progrès quand même pour gérer son rayonnement.

-Tenez, j’allais justement chercher un moyen de vous le rendre. Sans ça, travailler ici est peu pratique. Bonne journée monsieur Karasuma. Au plaisir de vous revoir.

La politesse et la gentillesse était surement presque les deuxièmes prénoms d’Imma au final. Il n’y avait aucun sous-entendu pour elle. Simplement qu’elle était gentille. Elle parlait bien sur d’une visite pour les archives, de la documentation. Elle devait refaire le classement et l’enregistrement de plusieurs dossiers quand même. Elle en aurait pour beaucoup de temps avant de se faire changer à un autre bureau d’archive que celui-ci. Il y en avait plusieurs distribué dans les trois tours, dépendamment des informations demander. Simplement là, c’était les criminels notoires qui avaient de besoin des services d’Imma. Les nettoyeurs étaient tant désorganiser quand même. Heureusement que l’Agence avait reprit le flambeau. Bref, il ne lui manquait rien d’autre que du silence et des dossiers. Bref, elle lui souriait gentiment, attendant patiemment qu’il prenne son badge et reparte travailler pour qu’elle aussi travail finalement… Pensez-y, elle était payé pour travaillé finalement. C’est donc se qu’elle allait faire.

-Tenez, j’allais justement chercher un moyen de vous le rendre. Sans ça, travailler ici est peu pratique. Bonne journée monsieur Karasuma. Au plaisir de vous revoir.

Pendant un long moment ─ c’était l’impression qu’il avait du moment─ il oublia ce pourquoi il était venu et il la regarda droit dans les yeux. Il était in capable de se défaire du regard de la secrétaire. Il n’avait même pas remarqué qu’elle avait passé ses doigts fins dans ses cheveux. Il était vraiment trop absorbé par ce qu’il regardait. De plus, il avait encore moins remarqué la petite lueur lumineuse qui semblait émaner de la secrétaire. Tout ceci ne dura que quelque secondes, mais ces secondes avaient suffit pour laisser s’immiscer un silence. Le temps lui était maintenant compté et il devait dire quelque chose d’intelligent ─ s’il en était capable dans l’instant présent ─. Il prit son badge.

«Pardonnez-moi, j’ai crut voir un ange. » son sourire s’élargit un peu plus

À l’intérieur de sa tête c’était la débandade totale. Plus rien ne semblait fonctionner correctement. La raison tabassait à grand coup de phrases logique et le cœur se défendait avec chacun de ses battements qui accéléraient leurs rythmes sans cesse. Il y avait tellement longtemps que son cœur n’avait pas émit un tel son pour une femme. Tout ce qui lui semblait être logique se prenait une «débarque » incroyable. Son corps en entier ne semblait plus lui obéir avec la raison. celui-ci tremblait légèrement, mais Masaki réussissait, malgré tout, à grader un certain contrôle sur ce tremblement spontané. Son cerveau allait sans doute devenir de la bouillis ambulante s’il ne faisait pas vite pour repartir.

«Maintenant que j’ai mon badge, je vais repartir. Passer une bonne journée. » dit-il en s’engouffrant dans l’ascenseur

Encore une fois, il se mit à rêvasser pendant son chemin pour son bureau. Il avait le cœur léger et il ne se souciait plus vraiment du chaos et du désordre du quartier général des nettoyeurs. Il prit place à son bureau et se remit à son travail. L’image de la jeune femme lumineuse ne cessait de lui revenir à la mémoire et à chaque fois il poussait petit soupir. Pourtant, il savait que ceci n’était rien d’autre qu’une idylle, mais il voulais y croire malgré tout. son cœur et sa raison se faisait un guerre incessante en lui.

Il avait plongé son regard dans le sien et elle le soutint joyeusement. Sourire aimable aux lèvres. Il ne lui répondit pas, il… l’a regardait. Un silence apparu, légèrement gêné. C’était bizarre quand même, elle lui rendait son badge et c’est tout. Pas de quoi s’en faire, non? Bref, classer des dossiers c’étaient beaucoup moins gênant. Il prit finalement son badge, c’était bien, il revenait à la normal. Il brisa finalement le silence. C’était beaucoup mieux ainsi.

«Pardonnez-moi, j’ai crut voir un ange. »

Il lui souriait, mais finalement… ce qu’il disait n’était pas mieux. Elle ne put s’en empêcher, c’était plus fort qu’elle, elle rougit. En fait, non, c’est faux puisqu’Imma était incapable de rougir. Non, Imma devenait luminescente en rougissant. C’était très gênant quand même. Elle tenta de se croiser les bras, passant une main gênée dans ses cheveux frivoles. Elle souriait à l’homme, mais elle et les compliments, les recevoir surtout, c’était deux mondes très différents. En plus, elle était censée répondre quoi à ça au juste? C’était… juste… gênant comme situation. Bien sur, elle se ressaisit rapidement avec un sourire et ses yeux bleus pétillants de joies. Il était gentil quand même, ce n’était pas rien. C’était un très joli compliment.

«Maintenant que j’ai mon badge, je vais repartir. Passer une bonne journée. »

Il repartie aussi vite qu’il était venu. Elle en fut surprise, mais… il était peut-être gêné lui aussi. Peut-être qu’il n’était pas à l’aise avec les femmes lumineuses. Elle avait expérimenté des tonnes de réaction face à son pouvoir, un homme qui fuit, ça ne serait surement pas une première non plus.

-Vous aussi, au revoir.

Elle avait eu le temps de prononcer ses mots avant que l’ascenseur ne se referme sur lui. Il était quand même tout un numéro quand on y pensait. Une fois les portes fermés, elle repartie vers son bureau, tout sourire. Elle adorait son travail et travailler avec les gens parfois lui plaisait. Sa rencontre était loin d’être déplaisante. Elle recommença à travailler et l’image de sa rencontre avec l’homme se dissipa peu à peu, s’effaçant devant tant de travail, tant de dossier et d’autre travailleur cherchant des renseignements. Elle voyait tant de personnes jours après jours… Elle ne pouvait pas se souvenir de chacun d’eux quand même. Malgré que… se Karasuma, elle ne l’oublierait peut-être pas aussi facilement… il l’avait quand même complimenté…

Rp terminé je vérrouille

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